Alice in Wonderland
« Pas mal, sans plus », « C’est un bon Disney, donc un Burton moyen ». Ce que j’avais entendu d’Alice in Wonderland, le nouveau Burton, ne faisait pas particulièrement envie. Et je n’ai jamais été un Burtonolâtre. Mais The Ghost Writer et Shutter Island étaient complets, alors…
Quelques impressions à froid:
- 13,50 euros, c’est du vol. Je sais, je devrais prendre une carte… Mais quand même.
- L’intérêt de la 3D est somme toute assez limité. Autant je suis très sensible aux belles images, autant la poésie de la 3D m’échappe encore. Je crois que ça me rappelle trop le futuroscope. Et puis ces lunettes rendent les couleurs tellement fades…
- Johnny Depp cabotine moins que ne le laissait penser la bande-annonce. C’est une bonne chose.
- Helena Bonham Carter est excellente, comme souvent. Sa Reine Rouge sauve le film de l’ennui.
- Les scènes « réelles » sont grotesques. Ok, le futur fiancé est moche et la tante Imogen, vieille, laide et un brin sénile. Ahahah. Next.
Au final, pas mal sans plus, en effet.