Les 100 albums les plus gays de tous les temps
Le magazine américain Out a demandé à toute une série de célébrités gays et lesbiennes de citer leurs 10 albums gay préférés. Et à partir de là, ils ont concocté une liste des 100 meilleurs albums.
Celui qui arrive en tête, c'est Ziggy Stardust de Bowie, suivi de près par les Smiths (deux albums dans le top ten), Tracy Chapman et les Indigo Girls.
Et puisque personne ne m'a demandé mon avis, voici la liste de mes dix albums gays préférés.
1. The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spides from Mars, David Bowie. Il a donné aux homos une place dans le rock. La meilleure.
2. Judy at Carnegie Hall, Judy Garland. Peut-être l'anti-Ziggy Stardust. Sommet de la culture gay des années 20 aux années 60. Avec une icône qui se livre totalement et un public qui le lui rend bien. Comme le résume Wilson Cruz dans le classement de Out : "When I first heard it, I wasn't sure who needed whom more. Was it
the gay men in the audience needing her, or was it her needing them?”"
3. Chatelet 87, Barbara. Un autre type d'icône qui là aussi se livre complètement. Jamais elle n'aura paru aussi forte et fragile à la fois. La citation de Wilson Cruz pourrait s'appliquer ici aussi.
4. Want One, Rufus Wainwright. Rufus laisse enfin parler la folle flamboyante qui est en lui. Arrangement extravagants (les dizaines de voix de Vicious World), chansons magnifiques, Rufus devient le héros pop gay des années 2000.
5. I am a bird now, Antony and the Johnsons. Une voix incroyable, une personnalité plus queer tu meurs (et un poil dépressive), des chansons sublimes. L'un des plus beaux albums pop de ces dernières années.
6. Dusty in Memphis, Dusty Springfield. Pour la sensualité – inégalée depuis – qu'il dégage. Ce n'est pas pour rien que The L Word a ouvert un de ses épisodes avec Just a little lovin'.
7. Living in Clip, Ani DiFranco. Entre folk et punk, gouine et hétéro, ani est une femme qui chante, qui gueule, et qui emmerde ceux à qui ça ne plaît pas. Et on ne peut apprécier ani complètement si on ne l'a pas vue en concert.
8. The Queen is dead, The Smiths. Morrissey, quelque part entre Bowie et Antony. Sans doute le meilleur parolier du rock.
9. La notte, la notte, Etienne Daho. Pour la pochette de Pierre & Gilles et parce que c'est Etienne.
10. Without you I'm nothing, Placebo. Ils sont peut-être un peu démodés aujourd'hui, mais cet album reste un grand choc qui a ramené les homos au rock. Le Ziggy des années 90.
2. Judy at Carnegie Hall, Judy Garland. Peut-être l'anti-Ziggy Stardust. Sommet de la culture gay des années 20 aux années 60. Avec une icône qui se livre totalement et un public qui le lui rend bien. Comme le résume Wilson Cruz dans le classement de Out : "When I first heard it, I wasn't sure who needed whom more. Was it
the gay men in the audience needing her, or was it her needing them?”"
3. Chatelet 87, Barbara. Un autre type d'icône qui là aussi se livre complètement. Jamais elle n'aura paru aussi forte et fragile à la fois. La citation de Wilson Cruz pourrait s'appliquer ici aussi.
4. Want One, Rufus Wainwright. Rufus laisse enfin parler la folle flamboyante qui est en lui. Arrangement extravagants (les dizaines de voix de Vicious World), chansons magnifiques, Rufus devient le héros pop gay des années 2000.
5. I am a bird now, Antony and the Johnsons. Une voix incroyable, une personnalité plus queer tu meurs (et un poil dépressive), des chansons sublimes. L'un des plus beaux albums pop de ces dernières années.
6. Dusty in Memphis, Dusty Springfield. Pour la sensualité – inégalée depuis – qu'il dégage. Ce n'est pas pour rien que The L Word a ouvert un de ses épisodes avec Just a little lovin'.
7. Living in Clip, Ani DiFranco. Entre folk et punk, gouine et hétéro, ani est une femme qui chante, qui gueule, et qui emmerde ceux à qui ça ne plaît pas. Et on ne peut apprécier ani complètement si on ne l'a pas vue en concert.
8. The Queen is dead, The Smiths. Morrissey, quelque part entre Bowie et Antony. Sans doute le meilleur parolier du rock.
9. La notte, la notte, Etienne Daho. Pour la pochette de Pierre & Gilles et parce que c'est Etienne.
10. Without you I'm nothing, Placebo. Ils sont peut-être un peu démodés aujourd'hui, mais cet album reste un grand choc qui a ramené les homos au rock. Le Ziggy des années 90.
j’ai 45 de ces albums en CD ou en vinyle … 7 sur 10 dans les 10 premiers.